Antoine Ronchin

Déclaration du Gouvernement suivie d’un débat sur la politique énergétique de la France

Monsieur le Président, Monsieur le Ministre, Mes chers Collègues,
Nous voilà donc réuni une nouvelle fois dans cet hémicycle, pour débattre de l’avenir énergétique de la France. Je dis « une nouvelle fois » car en une année, c’est maintenant la quatrième fois que nous débattons de ces questions.
Nous en avons débattu une première fois lors du vote de la loi de programme sur la politique (…)

Conseil européen des 15 et 16 juin à Bruxelles

Monsieur le président, madame, monsieur les ministres, mes chers collègues, il y a un an, lors du référendum du 29 mai 2005, une majorité de Français votait « non », rejetant ainsi le projet de loi de ratification du traité constitutionnel européen. Ce « non » français a été porté par une majorité de gauche.
Cette date du 29 mai ne représente pas un jour noir pour la construction européenne. (…)

Indignation du groupe CRC après l’annonce de 15 000 suppressions de postes de fonctionnaires

L’annonce par le gouvernement d’une nouvelle coupe claire dans les effectifs de la fonction publique, et notamment dans ceux de l’Education nationale, a entraîné une vive réaction de la part des sénateurs communistes."Alors que nos services publics sont dans la tourmente, que le gouvernement prétend soutenir les services publics de proximité, il continue à les mettre à mal, s’est indignée Annie David. C’est une véritable provocation, envers les personnels mais aussi envers les élèves et leur famille."

Suppression de plus de 7000 postes dans l’éducation nationale : une provocation de taille à l’égard de notre jeunesse !

Une nouvelle fois, le service public national de l’éducation est mis à mal ! La suppression de plus de 7000 postes dans l’éducation nationale, cumulée à l’austérité budgétaire imposée par l’Etat ces dernières années, non seulement contredit les engagements du gouvernement, mais plus grave encore fait fi du ras le bol de nos jeunes exprimé à plusieurs reprises, en novembre dernier et plus (…)

Intermittents : il faut sortir de l’impasse

Cela fait maintenant presque trois ans que les intermittents du spectacle se mobilisent contre une réforme de leur assurance chômage qui a davantage précarisé leur statut. Lors d’une question d’actualité au gouvernement, Jack Ralite a demandé l’inscription à l’ordre du jour du Parlement du projet de loi du comité de suivi. Celui-ci regroupe les partenaires sociaux non signataires de la réforme contestée et des parlementaires de tout bord.
Il a rédigé un projet de loi signé par 471 membres des deux Assemblées dont la majorité des députés avec l’objectif de le discuter si les négociations n’aboutissaient pas, ce qui est le cas aujourd’hui."Le comité de suivi, a notamment souligné le sénateur de Seine-Saint-Denis, non abusé par les conversations sur portables entre CFDT, MEDEF et ministère de la culture, pour faire croire que la négociation continuerait, et recevant de nombreux mail sur l’utilité du Parlement, demande au Gouvernement, Ministre de la culture, Premier Ministre, ministre de l’intérieur et ministre de la cohésion sociale notamment, d’en finir avec l’inertie et de décider avec le Président de l’Assemblée, Jean-Louis Debré, d’inscrire notre loi à l’ordre du jour."

Immigration et intégration : exception d’irrecevabilité

Monsieur le Président, Monsieur le Ministre, Mes chers collègues,
Les raisons de fond de notre opposition à votre projet ont été exposées par ma collègue. En défendant son irrecevabilité, nous voulons faire appel à la responsabilité des parlementaires à l’égard de nos concitoyens et des principes fondamentaux qui fondent la République. Il est de notre devoir de nous interroger sur la (…)

Immigration et intégration

Le Sénat a commencé à son tour l’examen du projet de loi relatif à l’immigration et à l’intégration, un texte défendu par Nicolas Sarkozy et auquel les élus du groupe CRC s’opposent avec fermeté. Ils estiment que les mesures présentées par le ministre de l’Intérieur et président de l’UMP, qui de la sorte marche sur les traces du Front National, vont précariser une grande partie des étrangers se trouvant en France et vont les soumettre au bon vouloir patronal. Et pour Eliane Assassi, il ne s’agit pas d’une réforme de plus. "Il s’agit là, a souligné la sénatrice de Seine-Saint-Denis, d’un changement radical, profond, de l’approche de l’immigration de notre pays. Ce texte, largement inspiré de la politique prônée par l’Union européenne en la matière tourne définitivement le dos à nos valeurs les plus sacrées, les plus ancrées dans notre République, et qui ont pour nom : solidarité, fraternité, coopération, respect du vivre ensemble... On s’éloigne ici vraiment de la France terre d’asile, de la France patrie des droits de l’Homme. Latente dans la loi du 26 novembre 2003, l’orientation du gouvernement est désormais clairement écrite."

Les atteintes aux libertés continuent de frapper les citoyens tunisiens

Instrumentalisation de la justice, quadrillage policier systématique et agressions physiques : les atteintes aux libertés continuent de frapper les citoyens tunisiens, comme le rappellent Nicole Borvo Cohen-Seat, Robert Bret et Alima Boumediene-Thiery dans un courrier adressé à Philippe Douste-Blazy. Les trois sénateurs demandent à être reçus par le ministre des Affaires étrangères afin "d’avoir un échange sur cette situation très préoccupante et de voir quelles pourraient être les initiatives de la France".

Vente à la découpe : conclusions de la commission mixte paritaire

Un an a passé depuis la première lecture à l’Assemblée nationale, le 16 juin 2005, d’un texte qui devait faire face à un nouveau phénomène dans nos grandes villes. Quel paradoxe ! Nous aurons mis un an pour mettre la dernière main à un texte dont l’origine tient aux désordres d’une situation créée en quelques minutes le 27 novembre 2002, par la création du statut des sociétés d’investissements (…)

Déficits publics : les fonctionnaires jouent une nouvelle fois les boucs émissaires

C’est encore de la faute aux fonctionnaires ! Le président de la commission des Finances du Sénat, M. Jean Arthuis, ancien ministre de l’Economie et des Finances, explique dans une entrevue accordée à un quotidien d’information nationale que les fonctionnaires sont responsables des difficultés budgétaires de l’Etat, et propose au passage une remise en cause de leur statut. "De telles déclarations sont inadmissibles, estiment les élus du groupe CRC : si la situation budgétaire de l’Etat est mauvaise, pourquoi donc le sénateur Jean Arthuis a-t-il voté la loi de finances pour 2006, acceptant par là même les choix du gouvernement ? Pourquoi continuer à voter, année après année, baisse sur baisse de l’impôt sur les sociétés, la taxe professionnelle, l’impôt sur la fortune ou encore l’impôt sur le revenu des ménages les plus aisés ? N’en déplaise à M. Arthuis, les dépenses de personnel de l’Etat ne sont aujourd’hui pas plus importantes qu’elles ne l’étaient il y a vingt ans, se situant aux alentours de 40 % du budget."

Antoine Ronchin

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