Intermittents : du sel sur la plaie de la brutalité
Une déclaration de Jack Ralite publiée dans l’Humanité
« Depuis 1974 je vais chaque année à Cannes. J’y vois des films que je ne reverrai jamais, qui viennent parfois d’endroits où règne l’autoritarisme.
C’est à Cannes qu’ils sont visibles, qu’ils existent, notamment à la « Quinzaine des réalisateurs ». Je vais à Cannes pour découvrir d’autres cinématographies, découvrir de nouveaux (…)