Cette proposition de loi ne répond à aucune urgence, surtout lorsqu’on ferme des maternités au prétexte qu’elles ne pratiqueraient pas assez d’accouchements
Madame la présidente, madame la ministre, mes chers collègues, si les dispositions que reprend la présente proposition de loi ont été censurées, en 2010, par le Conseil constitutionnel pour des raisons – j’en conviens – de forme, elles n’en soulèvent pas moins plus d’interrogations qu’elles n’apportent de réponses concrètes.
La raison en est sans doute le renvoi au pouvoir réglementaire de (…)