Le groupe CRCE-K

500 millions pour les jeunes, 100 milliards pour les banques : deux poids, deux mesures

Les 8 millions de jeunes de 16 à 25 ans ne peuvent qu’être déçus par les annonces du Président Sarkozy, qui ne devraient toucher que quelques dizaines de milliers d’entre eux. Nous sommes loin des intentions annoncées lors de l’installation de la Commission de concertation sur la politique de la jeunesse, par Martin Hirsch.
On nous avait annoncé une réorientation des politiques publiques en (…)

Le groupe CRC-SPG demande la création d’une mission d’information sur les causes du mal être au travail

A l’issue de l’audition de Monsieur Didier LOMBARD – PDG de France Télécom- par la commission des affaires sociales du Sénat, et alors qu’hier un salarié a une nouvelle fois mis fin à ses jours, les sénatrices et sénateurs du groupe CRC-SPG appellent l’Etat – qui détient 27% des actions de France Télécom - et le Gouvernement, à prendre toutes leurs responsabilités, en exigeant des (…)

Le Parlement doit débattre de l’engagement de nos troupes

Dans une lettre adressée ce jour au Premier Ministre, Nicole Borvo présidente du groupe CRC/SPG, Robert Hue, Michelle Demessine et Michel Billout, membres de la commission des Affaires étrangères et de la Défense, lui ont demandé d’organiser, dans les plus brefs délais, un débat devant le Parlement sur la situation en Afghanistan.
En effet, la récente frappe aérienne de l’Otan, qui (…)

Le gouvernement veut-il remplacer la carte vitale par la carte bleue ?

L’augmentation de 25% du forfait hospitalier - la plus forte jamais connue – aurait pour effet, si elle était maintenue, de peser sur les malades, notamment sur les plus fragiles au plan médical et économique. Pourtant, on sait déjà, à l’occasion d’une étude menée par les associations de malades sur les conséquences des franchises médicales, que plus d’un tiers des français renoncent aux soins (…)

Les sénateurs du groupe CRC-SPG aux côtés des comités de défense de La Poste

Aujourd’hui, 29 juillet, se sont tenus dans toutes la France des initiatives tenues par les comités de défense de la poste pour s’opposer à la privatisation de
l’entreprise publique programmée par le projet de loi examiné en conseil des ministres ce jour et que le gouvernement souhaite soumettre au vote du Parlement dès la rentrée.
Ils affirment leur opposition totale non seulement au (…)

Le gouvernement sonne le glas de nos communes et de nos départements

L’avant-projet de loi relatif aux collectivités locales, qui vient d’être rendu public, « sonne le glas de nos communes et de nos départements », alertent les élus du groupe CRC-SPG dans un communiqué. « Cet avant-projet, soulignent-ils, veut imposer aux collectivités locales des missions, des financements et des dépenses encadrés. Ce serait alors la fin de ces contres pouvoirs locaux. Cette réforme est un accompagnement institutionnel des politiques de réduction de l’action publique, des grands mouvements actuels de réduction des services publics et de privatisation rampante. De plus, en élargissant les périmètres d’action de nos administrations locales elle ouvre encore plus leurs marchés aux grands groupes financiers, au détriment des entreprises locales de trop petite taille. Il s’agit en fait d’une reprise en main par l’Etat avec de nouvelles collectivités aux missions élargies, mais très fortement régulées et contrôlées, chargées de mettre en œuvre les choix définis par le gouvernement. La conséquence sera la suppression de tout pouvoir aux communes et aux départements. »

Un texte antisocial contraire à la Constitution

Les sénatrices et sénateurs du groupe CRC-SPG réaffirment leur opposition totale à la proposition de loi actuellement examinée au Sénat, tendant à généraliser le travail le dimanche.
Cette proposition de loi, qui trouvait ses origines dans la volonté de légaliser la situation des zones commerciales qui sont déjà ouvertes en toute illégalité, à l’image de celle de Plan de Campagne qui viole (…)

Une banalisation qui ne dit pas son nom

Adoptée de justesse par la majorité sénatoriale, l’extension du travail du dimanche est un moyen, a expliqué Isabelle Pasquet, « pour en finir avec cette vieille conquête sociale et collective du repos hebdomadaire, que le patronat n’avait pas réussi à contourner jusqu’à présent ». « Les zones désignées comme touristiques, a indiqué la sénatrice des Bouches-du-Rhône, qui bénéficieront donc de la possibilité d’ouvrir le dimanche, capteront de la clientèle, mécaniquement, dirons-nous, et les communes voisines, sous la pression des acteurs économiques, souhaiteront entrer dans le dispositif. Encore une fois, au nom de la concurrence, on verra s’étendre les zones touristiques et, encore une fois, ce sont les salariés qui en feront les frais. »

Un vote contre pour empêcher le « travailler plus pour gagner pareil »

Le Sénat examinera à son tour à partir du mardi 21 juillet la proposition de loi permettant l’extension du travail du dimanche que l’Assemblée nationale vient d’adopter. Ce texte, imposé par le Président de la République lui-même, « n’est en réalité, estiment les élus du groupe CRC-SPG, qu’une étape supplémentaire dans le détricotement du Code du travail. On assiste à la volonté de réduire les droits des salariés pour accroitre les richesses détenues dans les mains d’une minorité d’actionnaires, notamment dans le domaine de la grande distribution ». Les sénatrices et sénateurs du groupe CRC-SPG entendent « poursuivre le travail de vérité entamé à l’Assemblée nationale par les députés du groupe GDR et mettre la majorité UMP face à ses propres contradictions. Car en rendant obligatoire le travail le dimanche dans les zones touristiques, sans repos compensateurs ni doublement du salaire, elle entérine la mort déjà constatée depuis l’élection de Nicolas SARKOZY à la Présidence du travailler plus pour gagner plus ».

Lettre à Monsieur le Préfet de Région et réponse du Préfet

A l’issue du conflit entre les salariés et la société NESTLE à Marseille, un plan de sauvegarde de l’emploi et une convention Etat entreprise a été signée en 2006, sous l’égide de votre prédécesseur, Monsieur Christian Frémont. Cette convention s’inscrit dans le cadre des lois de modernisation sociale de janvier 2002 et de la loi de cohésion sociale de janvier 2005. Elle était censée, je cite, (…)

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