Une rentrée scolaire placée sous l’égide d’une politique de renoncement
Dans un communiqué, Annie David rappelle que "la suppression de plus de 8500 postes dans l’éducation nationale, cumulée à l’austérité budgétaire imposée par l’Etat ces dernières années, non seulement contredit les engagements du gouvernement, mais plus grave encore, fait fi du ras-le-bol de nos jeunes exprimé à plusieurs reprises, en novembre 2005 ou encore lors de la mobilisation anti-CPE". La sénatrice de l’Isère dénonce également le discours rassurant de Gilles de Robien, pour qui "tout se passe bien", alors que les syndicats ont lancé un appel à la grève pour le 28 septembre...