Cette question préalable de la droite ne repose pas sur un désaccord majeur avec la politique gouvernementale
Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, lors de cette nouvelle lecture du projet de loi de modernisation de notre système de santé, il est impossible de faire abstraction du vote de la question préalable par la majorité de la commission des affaires sociales.
Grande est notre déception face à cette procédure, car elle nous prive de la possibilité d’aller jusqu’au bout (…)