Ni vu ni connu…
La richesse, la vraie, se veut discrète contrairement à la richesse bling-bling qui, elle, est un tantinet ostentatoire. C’est sans doute ce précepte que s’appliquent les riches propriétaires d’œuvres d’art. Alors, pour dissimuler ces joyaux picturaux aux yeux de la plèbe et du fisc prédateur, il existe des lieux sécurisés que l’on appelle des ports-francs.
A Genève, par exemple, vous (…)