Vous réduisez considérablement les prérogatives de la médecine du travail
« Les cadences au travail entraînent un mal-être croissant. Or, tandis que les syndromes d’épuisement ou les troubles musculo-squelettiques se multiplient, la médecine du travail est en sous-effectif, remarque Laurence Cohen. Une situation organisée depuis des années ! Les universités de Paris, de Lyon ou de Rouen ne fournissent pas les enseignements et stages nécessaires. Et où est la (…)