Un grand pays comme le nôtre ne peut accepter que ses étudiants souffrent de la faim
Monsieur le président, madame la ministre, mes chers collègues, je partage l’émotion collective qui s’est manifestée dans cet hémicycle. Un grand pays comme le nôtre ne peut accepter qu’une partie de sa jeunesse estudiantine souffre de la faim et soit contrainte de trouver sa pitance auprès des associations caritatives.
Cette crise n’est pas seulement la conséquence d’une situation qui a (…)