Pourquoi avoir vous-même condamné par avance ces salariés en appelant à des sanctions pénales ?
Ma question s’adresse à M. le Premier ministre.
Depuis l’annonce du plan de 2 900 suppressions d’emplois chez Air France, vous prétendez n’avoir qu’un seul cap : le dialogue social.
Mais ce dialogue, où est-il ? Comment pouvez-vous cautionner l’arrestation de salariés chez eux, au petit matin, devant leur famille, en l’absence de tout risque qu’ils se soustraient à la justice ? (…)