Antoine Ronchin

La fraude fiscale est source de difficultés financières majeures pour les États et de souffrances pour les populations

Madame la présidente, monsieur le ministre, mes chers collègues, ce n’est évidemment pas la première fois que notre assemblée accorde quelque intérêt à la discussion de conventions fiscales internationales – qu’il s’agisse d’ailleurs de textes initiaux fixant les relations entre les administrations françaises et étrangères ou d’avenants apportés aux conventions existantes –, mais le débat (…)

La vérité des chiffres

Tribune libre parue dans le numéro de février du journal Initiatives.
Le changement d’année a été marqué médiatiquement par les pérégrinations fiscales de nos talents nationaux, Gérard Depardieu, Bernard Arnault, Alain Afflelou. Ces événements sont l’occasion pour les tenants de l’argent de construire une véritable campagne idéologique visant à discréditer l’impôt d’une manière générale, en (…)

Les entreprises du secteur numérique échappent à l’impôt sur les sociétés

Monsieur le président, madame la ministre, monsieur le rapporteur, messieurs les rapporteurs pour avis, mes chers collègues, l’optimisation fiscale est au cœur de la stratégie de développement des grandes entreprises du net, Google, Amazon, Facebook, etc.
Leur activité dématérialisée leur permet de développer des pratiques scandaleuses, en étant notamment basées dans des pays à fiscalité (…)

Il est temps que cesse cette logique tueuse d’emplois

Ma question s’adresse à M. le ministre de l’économie et des finances.
Monsieur le ministre, depuis 1993 et la mise en œuvre du système européen de banques centrales, l’indépendance de la Banque de France a été jugée indispensable – ce qui est extrêmement important – dans le cadre d’une construction européenne qui, dois-je le rappeler, a été rejetée par nos concitoyens lors du référendum de (…)

Arrêtons le massacre des emplois industriels et des garanties sociales acquises par les peuples d’Europe

Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, lors de la première lecture de ce projet de loi au Sénat, qui l’avait alors rejeté, nous avions posé quelques questions sur le devenir de nos finances publiques.
À présent que le corps électoral a parlé et manifesté sa volonté de changement, la France doit-elle tout faire pour être le meilleur élève de la classe européenne ? (…)

Un nouveau cadeau fiscal fait aux entreprises

Monsieur le président, monsieur le ministre, mes chers collègues, quelques jours après son rejet par le Sénat, le contenu de ce collectif budgétaire de fin d’année a été, pour l’essentiel, préservé par l’Assemblée nationale, par le biais de l’adoption d’amendements présentés par le Gouvernement et le rapporteur général, au nom de la commission des finances : quelque 175 amendements ont été (…)

Quand l’UMP et l’UDI-UC veulent discuter, c’est toujours pour réduire les dépenses publiques

J’observe que la procédure choisie par le groupe socialiste n’est ni nouvelle ni originale. Un projet de loi d’habilitation bien connu, déposé à l’automne 1995, avait fait l’objet de cette même procédure en vue d’une entrée en application accélérée. Nous ne sommes donc pas dans une situation totalement inédite, quand bien même il ne s’agit pas de textes du même type puisque, à l’époque, (…)

L’abandon des 750 millions de recettes pour céder aux « pigeons » est emblématique

Madame la présidente, madame la ministre, mes chers collègues, lors de la discussion du texte en première lecture, le choc de compétitivité, présenté, par voie d’amendements, dans le cadre du collectif budgétaire, n’était pas encore inscrit au cœur du débat fiscal. Or son coût pour le moins élevé et ses conséquences incertaines mettent évidemment en question le contenu du présent projet de loi (…)

Une mesure d’inspiration patronale

Nous sommes contre l’article 24 bis, qui est selon nous d’inspiration patronale. Si je vous ai bien compris, monsieur Delattre, 20 milliards d’euros ne vous suffisent pas ; vous rejoignez sur ce point Mme Parisot, qui demande 50 milliards d’euros.
L’examen de cet article montre donc que, pour dire le moins, un certain discours patronal n’est pas dénué d’influence sur la gestion des affaires (…)

Oui, il faut redresser l’économie, mais pas en baissant le coût du travail comme s’obstine à le demander le patronat

Le projet de loi de finances rectificative était relativement anodin lors de son dépôt, et notre groupe l’aurait probablement voté, même modifié par les amendements qui ont été adoptés au cours de ce débat.
Malheureusement, les deux amendements du Gouvernement relatifs au CICE et à la TVA, qui sont les deux pivots de son pacte de compétitivité, ne peuvent recueillir notre assentiment.
Il (…)

Antoine Ronchin

Contacter par E-mail

Filtre thématique :

Toutes les thématiques

Justice et police

Égalité

Emploi, salaires et retraites

Budget et fiscalité

Politique

Logement

Droits de l’homme

Economie

Fonction publique

Education et recherche

International

Agriculture et pêche

Santé et protection sociale

Transport

Environnement

Europe

Anciens combattants

Services publics

Famille

Culture et médias

Institutions, élus et collectivités

Energie

Coopération et développement

Mouvements sociaux

Solidarité

Société

Sport

Immigration

Défense

Précarité

Ville et urbanisme

Industrie

Vidéos du sénateur

Fabien Gay, Antoine Ronchin Vidéo Transport F Gay En savoir plus
Marie-Noëlle Lienemann, Antoine Ronchin Défense de la souveraineté industrielle de la France dans les secteurs stratégiques
Antoine Ronchin vide oe.a pa En savoir plus
Antoine Ronchin vide o.ea pa2 En savoir plus

À la une