Au premier rang des victimes, la jeunesse doit réellement devenir notre priorité
Ma question s’adresse à M. le Premier ministre.
« Nous devons à nos enfants plus qu’un monde libéré du terrorisme », vient de déclarer, avec raison, le Président de la République. Plus qu’une phrase, c’est un engagement auquel nous souscrivons. Il nous faut alors passer aux actes, en particulier en faveur de notre jeunesse, et l’aider à se construire un autre avenir.
Depuis 2012, des (…)