Bioéthique
"Le vivant ne peut en aucune façon faire l’objet d’une appropriation par quiconque", a souligné Guy Fischer en introduction au débat sur la révision des lois bioéthiques. "C’est un patrimoine commun de l’humanité, a poursuivi le sénateur du Rhône. Il est, à ce titre, inaliénable et inbrevetable. C’est le sens d’un de nos amendements qui visent à protéger, non seulement la personne humaine, mais les espèces végétales et animales de toute marchandisation."