Bernard Vera

L’esclavage concernerait encore entre 150 000 et 300 000 personnes en Mauritanie

Madame Michèle André Sénatrice du Puy-de-Dôme Présidente de la commission des Finances du Sénat Présidente déléguée du groupe d’amitié France-Afrique de l’Ouest pour la Mauritanie Monsieur Jean-Marc Ayrault Ministre des Affaires Etrangères et du Développement International Hôtel du Ministre des Affaires étrangères 37 quai d’Orsay 75007 Paris
La Constitution de la République Islamique de (…)

Stop à la répression en Tunisie !

Les sénateurs du groupe CRC-SPG expriment leur vive émotion devant l’ampleur de la répression du mouvement social tunisien.
A l’heure où ces lignes sont écrites, des dizaines de morts sont déjà recensés parmi les jeunes, les salariés en lutte pour le pain et la liberté.
Nous nous joignons à tous ceux qui, aujourd’hui demandent l’arrêt immédiat de la répression.
Nous nous étonnons même de (…)

Bernard Vera

Ancien sénateur de l'Essonne
Contacter par E-mail

Filtre thématique :

Toutes les thématiques

Politique

Institutions, élus et collectivités

Services publics

Défense

Transport

Justice et police

Immigration

Droits de l’homme

Budget et fiscalité

Emploi, salaires et retraites

Education et recherche

Economie

International

Coopération et développement

Santé et protection sociale

Société

Europe

Environnement

Agriculture et pêche

Ville et urbanisme

Culture et médias

Famille

Industrie

Mouvements sociaux

Précarité

Vidéos du sénateur

Bernard Vera, Antoine Ronchin Il faut mettre fin au délit de solidarité
Bernard Vera, Antoine Ronchin Sélection à l'entrée de l'Université

À la une

Procès des viols de Mazan : regarder la société en face

Les 51 violeurs de Gisèle Pélicot, dont son ex-mari, ont été reconnus coupables et condamnés hier. Les sénatrices CRCE-K membres de la Délégation aux droits des femmes, Marie-Claude Varaillas et Evelyne Corbière Naminzo, saluent la dignité, la force et le courage de Gisèle Pélicot et rappellent que notre société patriarcale produit de telles horreurs.
Gisèle Pélicot en refusant l’anonymat (…)