Le groupe CRCE-K

Lettre aux secrétaires généraux de l’association des professeurs d’histoire géographie

Messieurs les secrétaires Généraux,
Suite à votre courrier du 23 février dernier concernant la réforme du lycée visant à supprimer l’histoire et la Géographie comme matière obligatoire en Terminale Scientifique, sachez que Monsieur Yvan RENAR, sénateur, membre de notre groupe a adressé une question écrite à Monsieur le Ministre de l’éducation nationale.
Cette question a été validée et (…)

Luc Chatel franchit un nouveau pas dans la précarisation de l’enseignement

Les sénateurs du groupe CRC-SPG partagent le désarroi légitime des parents face à un dispositif de remplacement qui peine parfois à trouver des solutions aux absences des enseignants, notamment concernant le remplacement de courte durée.
Nous le partageons d’autant plus que nous nous sommes toujours attachés à lutter contre la politique gouvernementale qui n’a fait qu’amplifier ce problème (…)

Universités : le gouvernement a misé sur le pourrissement du conflit

L’interpellation est signée Ivan Renar, ce jeudi 14 mai, et elle s’adresse au Premier ministre à l’occasion de la traditionnelle séance des questions d’actualité au gouvernement : « Quand allez-vous ouvrir de véritables discussions et concertations pour que les universités françaises puissent retrouver le calme nécessaire à l’accomplissement de leur mission de production et de transmission des (…)

Abrogation de la loi créant un droit d’accueil au profit des élèves des écoles maternelles et élémentaires

Inapplicable, source de tracas pour les élus locaux, et portant atteinte au droit de grève des enseignants ! Six mois après son adoption, la loi instituant le service minimum d’accueil dans les écoles fait pour ainsi dire l’unanimité contre elle. Les sénateurs du groupe CRC-SPG proposent aujourd’hui de l’abroger, fidèles ainsi à leur opposition de la première heure. « Il n’est pas juste, écrivent-ils, de promettre aux parents que leurs enfants seront accueillis les jours de grève et dans le même temps d’ignorer les difficultés inhérentes à un tel accueil et de se décharger de toute responsabilité quant aux conditions et aux modalités d’accueil de ces mêmes enfants sur les communes. Aussi, dans un souci de responsabilité à l’égard des parents et de leurs enfants, compte tenu de l’infaisabilité manifeste du dispositif et de l’impossibilité pour l’Etat de garantir son égale application partout sur le territoire comme il s’y est engagé en annonçant la création d’un nouveau service public, nous proposons d’abroger la loi du 20 août 2008. »

Défendre les droits de l’enfant, c’est respecter le droit à l’éducation

Les élus du groupe CRC se félicitent du succès des manifestations enseignantes contre la politique gouvernementale, tout en établissant une relation entre la journée mondiale des droits de l’enfant, ce 20 novembre, et la défense du service public d’éducation. « Cette journée, soulignent-ils dans un communiqué, est chaque année l’occasion de rappeler que la société, le gouvernement, le législateur ont la responsabilité de contribuer à donner aux enfants les moyens de bâtir leur vie, en faisant progresser leurs droits et parmi eux le droit à l’éducation dans toutes ses dimensions. Pourtant, ce droit connaît des régressions, y compris dans notre pays. Le gouvernement et sa majorité de droite multiplient en effet les attaques contre le service public de l’éducation. Qu’il s’agisse des attaques contre la scolarisation des deux ans à laquelle le gouvernement et sa majorité veulent substituer des jardins d’éveil payants ou de la disparition d’une partie des Réseaux d’Aides Spécialisées aux Elèves en Difficulté, dont la mission est justement d’intervenir auprès des enfants en souffrance. Garantir le droit à l’éducation, c’est exiger pour tous les enfants un droit d’accès, de la maternelle à l’université, à une école publique, gratuite et laïque. Une école qui ne soit pas bradée par des suppressions de postes et par l’affaiblissement du contenu des formations. »

Rapport d’information du groupe de travail « A quoi sert le baccalauréat ? » : contribution du groupe CRC

Le rapport d’information qui vient de nous être proposé dresse pour la première fois un véritable état des lieux du baccalauréat. Une contribution de qualité, utile à un moment où l’ensemble de la communauté éducative s’interroge pour rompre avec l’échec et les inégalités scolaires et pour relever le défi d’élévation des connaissances et des compétences pour tous et toutes. Le baccalauréat ne (…)

Création au sein de l’Éducation nationale un service de la psychologie pour l’éducation et l’orientation des élèves

EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs,
La loi confie à l’école la responsabilité d’amener les élèves à acquérir des savoirs, avec un objectif réaffirmé de 80 % d’entre eux obtenant un baccalauréat, à développer leur autonomie, à construire leur personnalité et à élaborer progressivement leur projet d’orientation.
Mais la démocratisation du système éducatif est en panne : en 2007, malgré (…)

Les sénateurs Communistes Républicains et Citoyens soutiennent la mobilisation étudiante contre la loi Pécresse

Cet été, les sénateurs du groupe CRC ont été parmi les rares parlementaires à s’opposer à la loi relative aux libertés et aux responsabilités des universités, loi contre laquelle se mobilisent aujourd’hui les étudiants. « Face au développement du mouvement des étudiants et des enseignants du supérieur, la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche a dû concéder, par redéploiement de crédits, quelques mesures en faveur du logement étudiant. Ceci ne suffira pas à désamorcer la colère, constatent-ils aujourd’hui. Les raisons de s’opposer à cette loi qui heurte des principes fondamentaux de l’enseignement universitaire français demeurent. Au mois d’août, lors de la discussion de ce texte en urgence, nous en avions combattu les aspects les plus négatifs. En particulier le désengagement de l’Etat et l’instauration d’une logique concurrentielle qui obligera les universités à faire la course aux financements privés, mais aussi la possible remise en cause des statuts des enseignants-chercheurs et du principe de collégialité. L’Université a pourtant besoin d’une réforme ambitieuse. »

Journée nationale de la Résistance

EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs,
Plus de soixante ans après la Libération de la France, des dates de commémoration perdurent, et c’est heureux, afin d’entretenir la mémoire de faits historiques dont la compréhension est indispensable, notamment aux jeunes générations pour former leur jugement et participer à la construction de la France des décennies à venir en toute connaissance de (…)

Abrogation de l’article 89 de la loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales

EXPOSÉ DES MOTIFS
Mesdames, Messieurs,
L’article 89 de la loi n° 2004-809 du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales a étendu aux écoles privées l’obligation de participation des communes au financement de la scolarité des enfants résidant dans leur commune et scolarisés dans une autre commune. Pourtant, cette obligation n’existe pas pour une inscription dans un (…)

Le groupe CRCE-K

Contacter par E-mail

Filtre thématique :

Toutes les thématiques

Justice et police

Égalité

Emploi, salaires et retraites

Politique

Logement

Economie

Budget et fiscalité

Services publics

Fonction publique

International

Santé et protection sociale

Droits de l’homme

Mouvements sociaux

Transport

Immigration

Agriculture et pêche

Energie

Sport

Solidarité

Institutions, élus et collectivités

Education et recherche

Défense

Société

Environnement

Culture et médias

Industrie

Précarité

Vidéos du sénateur

Le groupe CRCE-K, Antoine Ronchin Laurence Cohen, sénatrice communiste veut créer un pôle public du médicament En savoir plus
Le groupe CRCE-K, Antoine Ronchin Face aux politiques libérales, un groupe parlementaire utile à nos concitoyens et aux élus locaux
Le groupe CRCE-K, Eric Bocquet, Antoine Ronchin Renationaliser nos autoroutes est urgent et tout à fait possible
Le groupe CRCE-K, Antoine Ronchin Lubrizol : le rapport de la commission d'enquête sénatoriale ne doit pas rester lettre morte

À la une