Bernard Vera

L’indécente fiscalisation des indemnités journalières des accidentés du travail

M. Bernard Vera. Avec cet article, vous voulez supprimer la défiscalisation des indemnités journalières versées par la sécurité sociale aux salariés victimes d’un accident de travail.
Cette suppression est à la fois une mesure indécente et très injuste, ainsi qu’un message de mépris envers les victimes du travail. Elle pourrait même se révéler être une erreur politique, si l’on en croit un (…)

Situation de l’hôpital de Juvisy-sur-Orge

Madame la ministre, je souhaite appeler votre attention sur la situation de l’hôpital de Juvisy-sur-Orge, situé dans mon département de l’Essonne, où il est en effet prévu de fermer les services de chirurgie et de maternité, avec, à la clef, la suppression de 170 emplois de personnels de santé.
Or je veux rappeler le rôle particulier de cet hôpital, dans le périmètre duquel se trouvent deux (…)

Bernard Vera

Ancien sénateur de l'Essonne
Contacter par E-mail

Filtre thématique :

Toutes les thématiques

Politique

Institutions, élus et collectivités

Services publics

Défense

Transport

Justice et police

Immigration

Droits de l’homme

Budget et fiscalité

Emploi, salaires et retraites

Education et recherche

Economie

International

Coopération et développement

Santé et protection sociale

Société

Europe

Environnement

Agriculture et pêche

Ville et urbanisme

Culture et médias

Famille

Industrie

Mouvements sociaux

Précarité

Vidéos du sénateur

Bernard Vera, Antoine Ronchin Il faut mettre fin au délit de solidarité
Bernard Vera, Antoine Ronchin Sélection à l'entrée de l'Université

À la une

Procès des viols de Mazan : regarder la société en face

Les 51 violeurs de Gisèle Pélicot, dont son ex-mari, ont été reconnus coupables et condamnés hier. Les sénatrices CRCE-K membres de la Délégation aux droits des femmes, Marie-Claude Varaillas et Evelyne Corbière Naminzo, saluent la dignité, la force et le courage de Gisèle Pélicot et rappellent que notre société patriarcale produit de telles horreurs.
Gisèle Pélicot en refusant l’anonymat (…)