Dans un communiqué, Hélène Luc apporte son soutien au mouvement de grève des personnels du ministère des Affaires étrangères. "Cette grande première, souligne-t-elle, traduit l’immense malaise des personnels qui sont confrontés depuis de nombreuses années à des réductions budgétaires et de postes." Les sénateurs du groupe CRC se sont prononcés contre le budget du ministère des Affaires étrangères qui, expliquent-ils, " sous couvert de restrictions budgétaires impose des mesures drastiques à un ministère déjà en difficulté."
Robert Bret interpelle le ministre de la justice sur les conséquences de la poursuite du plan de fermeture des portes des cellules dans les maisons centrales
Monsieur le Ministre,
Suite aux différents incidents survenus dans certaines maisons centrales, vous avez adressé aux directeurs de ces établissements pénitentiaires une circulaire dans laquelle vous leur demandez de mettre un terme (…)
Robert Bret interpelle la Présidente du groupe sénatorial d’amitié France-Tunisie
Madame la Présidente,
Je souhaite attirer dans l’urgence votre attention sur la situation de Madame Radhia NASRAOUI, avocate tunisienne et militante des droits de l’homme, qui observe depuis le 15 octobre dernier une grève de la faim pour dénoncer le harcèlement policier dont elle et ses proches sont l’objet (…)
par
Robert Bret,
Nicole Borvo Cohen-Seat et
Josiane Mathon-Poinat
Dans un communiqué, les trois sénateurs communistes membres de la commission des Lois, Nicole Borvo, Josiane Mathon-Poinat et Robert Bret, se félicitent d’une censure "qui met un frein aux dérives du Gouvernement en matière d’atteinte aux libertés". "Tout au long du débat parlementaire, soulignent-ils, les sénateurs communistes avaient rappelé leur profond rejet d’une loi stigmatisante pour les étrangers ; ils avaient à cette fin décidé de s’associer avec leurs collègues socialistes pour saisir le Conseil constitutionnel d’une loi qui porte profondément atteinte aux droits et libertés fondamentales de la personne humaine".
La majorité sénatoriale, comme à son habitude, fait dans la surenchère libérale. En proposant d’alléger une nouvelle fois l’ISF, ou de rétablir l’avoir fiscal dans son intégralité, les sénateurs UMP poussent encore plus loin la logique libérale qui marque déjà fortement le budget 2004. "Le groupe CRC votera contre ces dispositions antisociales, soulignent les sénateurs communistes dans un communiqué, et demandera à chaque sénateur de prendre position clairement par le dépôt de demande de scrutin public."
Au nom du PCF et de Marie-George Buffet, Robert Bret, sénateur, a effectué mercredi à Tunis une visite de solidarité auprès de Radhia Nasraoui, avocate et militante des droits de l’homme, en grève de la faim depuis le 13 octobre pour protester contre le harcèlement permanent dont elle est victime, de la part du régime policier tunisien, dans l’exercice de ses fonctions et dans son engagement (…)
Les apparences médiatiques sont souvent trompeuses... Championne de l’opposition dans les journaux télévisés, l’UDF demeure sur le fond une composante active de la majorité. C’est ce que rappellent Guy Fischer et Roland Muzeau dans un communiqué : "Dans le dossier de la sécurité sociale, des 35h, de la décentralisation, de l’immigration, des retraites, des emplois et des services publics, des contrats-jeunes, l’UDF a fait le sale boulot, comme l’UMP. L’UDF et l’UMP poursuivent leur « chantier » avec le projet de loi RMI-RMA, au-delà des surenchères verbales, des millions de nos concitoyens les plus durement frappés par l’absence de travail vont être « livrés pieds et poings liés » pour quelques euros aux appétits du MEDEF. Voilà où mène le mensonge politique."
Une lettre ouverte de Robert Bret et de plusieurs parlementaires à Jacques Chirac
Monsieur le Président de la République,
Parlementaires, nous tenons à porter à votre connaissance, et ce avant votre déplacement à Tunis en décembre prochain, le cas de Madame Radhia Nasraoui.
Avocate et militante des Droits de l’Homme, Maître Nasraoui est entrée en grève de la faim le 15 octobre dernier. (…)
par Annie David
La majorité sénatoriale a approuvé dimanche 16 novembre le texte relatif aux responsabilités locales, autrement dit l’acte II de la décentralisation voulue par Raffarin. La droite a ainsi voté le transfert aux régions et aux départements de plus de 92000 fonctionnaires TOS et cela sans se soucier des conséquences dramatiques sur la cohésion de la communauté éducative.
Ce (…)
Après le vote par la majorité sénatoriale du projet de loi relatif aux responsabilités locales, deuxième acte de la décentralisation "Raffarin", les sénateurs du groupe CRC se sont adressés à l’ensemble des maires de France pour les alerter sur la profonde nocivité du texte. "Ce projet de loi, écrivent-ils dans cette lettre ouverte, est marqué du sceau du libéralisme. Son objectif est la remise en cause de la conception républicaine des services publics. Cette conception est fondée sur l’égalité entre les citoyens, où qu’ils vivent, sur le territoire national. Avec le projet de M. RAFFARIN, il ne fera pas bon habiter dans une région, un département ou une commune en difficulté. Cette conception républicaine est également fondée sur l’idée de l’unicité.
Les grands services publics nationaux, santé et protection sociale, éducation, logement, transport, tirent leur force d’une philosophie solidaire définie à l’échelle de la nation. Eclater les responsabilités, c’est briser cette unicité, c’est favoriser l’inégalité et la mise en concurrence des territoires dans une optique parfaitement libérale."
Les 51 violeurs de Gisèle Pélicot, dont son ex-mari, ont été reconnus coupables et condamnés hier. Les sénatrices CRCE-K membres de la Délégation aux droits des femmes, Marie-Claude Varaillas et Evelyne Corbière Naminzo, saluent la dignité, la force et le courage de Gisèle Pélicot et rappellent que notre société patriarcale produit de telles horreurs.
Gisèle Pélicot en refusant l’anonymat (…)
Le 24 avril 2024, le Parlement européen a adopté la directive sur les travailleurs des plateformes, marquant une étape importante dans la reconnaissance des droits de ces millions de travailleurs. Ce texte, soutenu par un large spectre politique, allant de la gauche au centre-droit, traduit une reconnaissance unanime de la nécessité d’un cadre clair pour garantir des droits sociaux à ces (…)