Monsieur le chef d’édition
je tenais à vous faire part de mon vif mécontentement suite à l’article paru dans Le Parisien du 22 mars 2013 concernant la réserve parlementaire.
Votre journaliste, Mme Faustine Léo m’avait contacté début mars afin de lui faire parvenir différentes informations sur l’utilisation de ma réserve parlementaire. Comme je n’ai aucun soucis à communiquer sur ce sujet et que la transparence me paraît importante, je lui avais donc transmis une exhaustive des actions aidées en 2012 ainsi que des exemples des projets financés. Je lui avais également communiqué un lien vers une interview (à voir en cliquant ici)que j’avais donné à ce sujet à un média de Seine et Marne.
C’est donc avec beaucoup de colère que j’ai constaté que mon nom n’était même pas cité dans l’article paru dans Le Parisien du 22 mars, sous-entendant ainsi que je ne souhaitais pas m’exprimer sur ce sujet sensible
Il me semble en effet essentiel, concernant des sujets d’actualité comme celui-ci, suscitant un intérêt grandissant chez les citoyens, que vos lecteurs puissent bénéficier d’une information de qualité, la plus précise possible
Je trouve donc cette façon de procéder assez irrespectueuse.
J’ai tenté en vain, à plusieurs reprises, d’entrer en contact avec Mme Faustine Léo afin de lui demander des explications et lui faire part de ma vive désapprobation. C’est pourquoi je m’adresse à vous aujourd’hui.
J’espère sincèrement que ce genre d’incident ne se reproduira plus et qu’il vous sera possible de revenir sur ce sujet et donc d’évoquer l’utilisation de ma réserve parlementaire.
Dans cette attente je vous informe que je publie cette lettre sur mon site internet avec l’espoir de pouvoir y ajouter rapidement votre réponse.
Je vous prie de croire, Monsieur le chef d’édition, en l’expression de mes sentiments distingués.