Nicole BORVO COHEN-SEAT s’est adressée à l’Ambassadeur de Libye en France pour protester contre la « sentence barbare, révoltante » et contre « l’acharnement » dont ont été victimes les cinq infirmières bulgares et le médecin palestinien accusés d’avoir délibérément inoculé le virus du sida à des enfants libyens. Elle demande leur libération.
Elle s’est également adressée au Président de la République, Jacques CHIRAC, pour que la France s’engage, au plus haut niveau, « afin que soit évité l’irréparable dans une affaire qui apparaît, de plus, comme un véritable déni de justice ».