Le premier ministre vient de confirmer avant la fin de la session parlementaire qu’il entend poursuivre sa politique de régression sociale et démocratique :
- réduction drastique du nombre d’agents publics, y compris dans l’éducation nationale,
- privatisation des grandes entreprises du secteur public,
- recul de la protection sociale.
Le discours sur le dialogue social n’est que poudre aux yeux, quand on sait que le gouvernement impose à marche forcée, la réforme des retraites et que les syndicats majoritaires étaient contre et que la majorité de la population souhaitent une renégociation.