Je suis bouleversée par la confirmation, par la Cour suprême libyenne, de la condamnation à mort des cinq infirmières bulgares et du médecin palestinien. C’est un jugement terrible qui intervient alors même que des négociations sont en cours.
Toutes celles et tous ceux attachés aux droits des personnes ne peuvent que s’insurger contre l’injustice et la cruauté d’un tel châtiment.
Avec eux, je souhaite ardemment que le Conseil supérieur des instances judiciaires en décide autrement lors de sa réunion, le lundi 16 juillet prochain.