Monsieur le Président de la République,
Vous avez fait l’objet d’une tentative d’agression, à l’occasion du défilé du 14 juillet sur les Champs-Elysées.
Un homme, connu pour son appartenance à des milieux d’extrême-droite, a utilisé contre vous une arme. On voit une fois encore que l’apologie de la violence ne peut qu’entraîner la violence, jusqu’à sa pire expression.
C’est un véritable drame pour vous-même, vos proches, pour notre République qui a été évité.
Je tenais, en ces circonstances, à vous dire toute mon émotion.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma haute considération.