Permettez-moi, Messieurs les rapporteurs, de vous citer : « nous constatons avec satisfaction que le projet de loi s’inscrit dans la continuité des réformes menées par les précédentes majorités »
Bien sûr la droite a besoin d’exister et ses primaires approchent. La surenchère est de bon ton, d’où le rajout de propositions ultra-libérales et provocatrices telles que le retour aux 39 heures. Mais bien souvent la majorité sénatoriale se contente du retour à votre texte d’origine Mme La Ministre, je pense par exemple, au plafonnement des indemnités de licenciement.